Dans certains projets d’achat immobilier, tout semble bloqué : les biens disponibles ne correspondent pas, les délais sont flous, les vendeurs pas encore décidés… Et pourtant, c’est souvent dans ces situations complexes que l’expertise du chasseur immobilier prend tout son sens. L’histoire que nous vous partageons aujourd’hui est celle d’un couple en recherche d’une maison haut de gamme autour du Parc de Sceaux. Grâce à l’intuition de Catherine Royer (chasseuse Mon Chasseur Immo) et à une collaboration de confiance avec une agence locale, une maison non encore mise sur le marché a pu être visitée… et achetée dans la foulée.
1. un projet ambitieux… encore en attente
Le projet commence de manière classique : un couple en quête de sa résidence principale, avec un budget entre 2 et 3 millions d’euros, cherche une maison spacieuse, dans un secteur très ciblé autour du RER Parc de Sceaux (Bourg-la-Reine, Sceaux, Antony).
Mais dès les premiers échanges, Catherine identifie un point de blocage : si l’envie est là, la situation financière du couple dépend de la vente d’une société. Il faudra donc patienter… ce qu’elle fait avec intelligence, en gardant le lien jusqu’à ce que le feu vert soit donné, début 2024
2. L’art de chasser là où personne ne regarde
Catherine relance alors activement la recherche. Et c’est hors des sentiers battus que l’opportunité surgit. Grâce à un échange avec une agente locale qui venait tout juste de faire une estimation, elle entend parler d’une maison “pas encore à vendre”, dont les propriétaires envisageaient une mise en marché… en juillet.
Plutôt que d’attendre, Catherine tente le coup. Elle demande : “Et si on pouvait la visiter malgré tout ?”
L’agente ne tergiverse pas : elle raccroche, part parler à la propriétaire, et revient dans la foulée avec un oui.
3. Une relation de confiance avec l’agence qui change tout
C’est là que la relation entre chasseur et agence joue un rôle décisif.
Plutôt que de protéger le bien ou de temporiser, l’agente choisit d’agir en partenaire, dans une logique gagnant-gagnant. Elle comprend que le profil du couple est sérieux, le projet mûr, et fait confiance à Catherine pour cadrer la visite.
- Mercredi, Catherine décroche le feu vert.
- Samedi, elle visite.
- Samedi soir, l’offre est posée.
Un timing parfait, rendu possible uniquement grâce à cette coordination fluide avec l’agence. Pas de pression, pas d’improvisation : juste du professionnalisme et de la réactivité des deux côtés.
4. Le off-market, ce n’est pas de la chance, c’est un réseau actif
Cette maison de près de 300 m², rénovée avec soin, dans un domaine ultra prisé, n’était pas à vendre. Elle ne le sera probablement jamais sur les portails. C’est aussi ça, la valeur ajoutée d’un chasseur : accéder à l’invisible, à condition d’avoir le réseau, la rigueur et les bons relais.
Et dans cette chasse, le relais, c’était l’agence. Une relation agence–chasseur basée sur la confiance et l’écoute, qui a permis à toutes les parties — vendeurs, acheteurs, professionnels — d’y trouver leur compte.
Une mission réussie, en toute discrétion
Grâce à une stratégie fine, une approche humaine, et une collaboration intelligente avec une professionnelle locale, Catherine a transformé une recherche figée en une acquisition concrète. Le couple a trouvé la maison idéale… avant même que celle-ci ne soit concrètement sur le marché.
Le off-market, c’est souvent là où tout se joue. Et quand la relation entre le chasseur et l’agence est fluide, les opportunités prennent vie.
